Working / sampling

Hello tout le monde,
Je suis enfin rentré du boulot. Je suis vanné et j’ai comme l’impression qu’un rouleau compresseur m’est passé sur le dos. J’ai porté des trucs lourds toute la journée à 10 mètres de hauteur, sur un toit ou les occasions de se casser la gueule ne manquent pas… Enfin bref, il faut bien souffrir un peu et donner de soi pour pouvoir payer notre album.

En parlant de ça, je n’ai pas encore trouvé le temps d’appeler Niko qui fait ses prises depuis hier, mea culpa… Mais je n’ai cessé de penser à lui. J’espère que tout se passe bien. L’une des plus grosses parties du travail repose sur ses épaules. Ce sont ses batteries qui donneront la couleur de l’album, je pense. J’ai hate d’ecouter, grrr !

En ce moment, mon travail au niveau de l’album est aussi trés chargé, je n’ai pas vraiment le temps de chomer (bien que chomeur soit l’une de mes spécialités lol ). En gros, j’ai moins d’un mois pour apprendre à jouer de la basse ( et oui, il y aura de vraies basses sur cet album, qu’on se le dise!), je dois finir la chanson qui cloturera l’album (elle est à peine commencée, oups) et enfin, je dois décortiquer, ouvrir, écarteler, démembrer, éclater toutes les parties de chaque sample, de chaque titre, les exporter en deux formats. C’est chiant, ennuyeux au possible, mais si l’on veut travailler les parties indépendamment les unes des autres, il n’y a pas vraiment d’autre alternative.

Merde! J’ai déjà plus de crédit au cybercafé. « Attention chérie, ça va couper ! » (cf La cité de la peur » film de Les Nuls). Normal, j’ai du mettre plus d’une demie heure pour taper ce message, car je ne me suis pas encore transformé en blonde secrétaire, en joueur en réseau, ou en informaticien lobotomisé. Je crois que je vais arréter là, sinon Loomax risque de me faire bouffer les touches de ce clavier une par une, lol !
May the glitter be with you, biz !